Article11, comète n°18



Il déboule illico presto dans les kiosques, notre gazette filante — qui court vers sa fin, ce 18e étant l’avant-denier numéro. Avec panache et sans larmes. Toujours 40 pages de bons papiers pour trois modiques euros, reportages, entretiens, chroniques et images. En prime, un édito signé Bruce Willis et une couverture interstellaire par Formes Vives.



Dans ce nouveau numéro et pour ravir nos mirettes, deux images de la photographe Amélie Labourdette, un dessin de Jonathan Blezard et un poster signé Martes Bathori.



On retrouve également la vignette d'Hector de la Vallée, une illus de Baptiste Alchourroun, une série photo (accompagnant la chronique portuaire) de Julia Zortea et la page recto-verso «papillons» avec Grégoire Romanet, Jil Daniel & Quentin Bodin, Élise Tchoukriel, David Poullard, Martha Salimbeni, Pierre di Sciullo et Sébastien Marchal.

En guise d’avant-goût, le «Sommairement» :
Dans ce dix-huitième numéro qui prend effrontément la comète par les cornes, on partira en Nièvre, sur les traces du « dentiste de l’horreur » (p. 3), on ralliera Reims où s’échafaude de longue date une autre approche de la psychiatrie (p. 7), on admirera ces femmes mexicaines qui viennent en aide aux migrants (p. 10), on parlera combines et illégalisme avec l’équipe de la revue Rafale (p. 14), on discutera PMA et reproduction artificielle du vivant avec Alexis Escudero (p. 18), on découvrira la cartographie radicale et ses subtilités (p. 22), on contemplera les mammouths du Cap d’Antifer (p. 26), on écoutera le récit d’une manif romaine particulièrement explosive (p. 34), on tentera de cerner l’écrivain Antoine Volodine (p. 36), et on engloutira de savoureuses chroniques de société, de piquants aperçus historiques et de ragoûtantes envolées littéraires, le tout entremêlé d’images prédestinées à parfaire les décorations de vos salles à manger — puis on filera vers l’espace, où l’on prendra un apéro bien mérité sur une étoile anisée, les sens bercés par le vide galactique et les trous noirs en goguette.



Outta space, baby.