Feu Foin, deuxième semaine
Nicolas Filloque - mardi 14 mars 2017 - Arts vivaces
Notre aventure limousine continuait du 27 février au 3 mars. Après une première semaine en novembre dernier dans les murs de l'école d'art de Limoges, la deuxième semaine de ce quon appelle pour l'instant FEU FOIN sest déroulée sur le plateau de Millevaches. Nous avons posé nos sacs à deux pas de Tarnac, très heureux dêtre accueillis et pouvoir prendre le temps de découvrir le coin. L'odeur de la cheminée, le goût du matin frais, marcher dans la neige, rencontrer nos hôtes, une chouette et délicieuse cantine, lorganisation dune ferme collective, et encore, et encore.
Nous nous sommes présentés, pris le temps déchanger et, à l'aune des apprentissages autonomes, nous nous sommes dit qu'une école d'art en 2017 aurait mille raisons de sinstaller là. Celle d'un art qui s'inventerait loin du marché et de l'individualisme crétin. Un art de vivre et de faire ensemble. Une semaine de travail dans l'atelier bois et des rencontres fortes, avec les gens qui font vivre le lieu, des mises en pratique qui déplacent et questionnent notre mon rapport au monde et nos choix de vie. Loin du discours mais pas de la parole, nous avons vécu une semaine intense et il nous tarde déjà d'y retourner.
Lobjet premier de cette semaine (ou bien seulement le prétexte?) était davancer dans la construction de notre machine-roulante-non-productive, sorte de char que lon viendra finir en mai et avec lequel nous partirons en septembre.
Toujours avec Marion, Laurie et Lauriane, Léa, Madeleine, Anna, Mellie, Marion, Louis, Gaëtan.
Nous nous sommes présentés, pris le temps déchanger et, à l'aune des apprentissages autonomes, nous nous sommes dit qu'une école d'art en 2017 aurait mille raisons de sinstaller là. Celle d'un art qui s'inventerait loin du marché et de l'individualisme crétin. Un art de vivre et de faire ensemble. Une semaine de travail dans l'atelier bois et des rencontres fortes, avec les gens qui font vivre le lieu, des mises en pratique qui déplacent et questionnent notre mon rapport au monde et nos choix de vie. Loin du discours mais pas de la parole, nous avons vécu une semaine intense et il nous tarde déjà d'y retourner.
Lobjet premier de cette semaine (ou bien seulement le prétexte?) était davancer dans la construction de notre machine-roulante-non-productive, sorte de char que lon viendra finir en mai et avec lequel nous partirons en septembre.
Toujours avec Marion, Laurie et Lauriane, Léa, Madeleine, Anna, Mellie, Marion, Louis, Gaëtan.