Ça y est, on a enfin dessiné une couverture pour le légendaire CQFD, n°166! Journal de mauvais garçons fabriqué rue Consolat à Marseille (et comptant des contributeurs·trices bien au-delà), un mensuel qui parait en presse partout sur l'hexagone, archi-indé-qui-lâche-rien, qui peut aussi se montrer curieux et drôle, avec une maquette et une ligne éditoriale se bonifiant avec l’âge… (on pourrait même dire qu’ils ont fait un super mercato en recrutant quelques zozos de grands talents après la liquidation d’Article11…). Un coucou au passage aux brillants Baptiste Alchourroun, Vincent Croguennec, Hector de la Vallée et Jérémy Boulard le Fur qui sont devenus des dessinateurs réguliers de CQFD, quel plaisir de les croiser dans les pages de ce canard d’enragé·es! Et dans ce n°166 il y a même un papier de Frantz d’Espaces Possibles! Décidément, les copains sont partout.



Pour les Marseillais·es vous pouvez croiser l'équipe à Manifesten chaque mois pour la sortie du nouvel opus… et pour les Brestois·es, CQFD déboule le 9 juin à L’Avenir (rue Bugeaud) pour fêter ses 15 ans à l’autre bout de la France! Il y aura des débats et des concerts et des boissons alcoolisées et des gens qui fument des roulés non stop, ça risque du durer toute la journée cette histoire.



Deuxième publicité éhontée pour les copines de Panthère Première qui viennent de lancer leur second numéro, avec toujours une maquette qui déboite signée Félicité Landrivon, Jeanne Gangloff et Éléonore Jasseny et des papiers bien attirants — ligne éditoriale aussi simple à décrire que les papiers sont bons à lire! —, avec entre autres un dossier « Héritage et inégalités de patrimoine » qu’on attendait avec impatience. On a signé la mise en forme d’un schéma dans ledit dossier…
Panthère Première est diffusée dans les bonnes librairies, comme l’Hydre qui vient d’ouvrir rue St-Savournin (à Marseille toujours) — avec un aménagement classieux dessiné, construit et installé par les champion·es d’ETC.



C’est évidemment plus la peine de demander quand est-ce qu'on ressortira un numéro d’Article11, mais pour qui veut savoir ce que font maintenant ses pimpant·es rédacteurs·trices, il vous suffit de lire les publications ci-dessus.