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Automne grapusien
Adrien Zammit - jeudi 20 novembre 2014 - Événements

À lEHESS, Grapus fait lobjet dun séminaire de recherche organisé par Catherine de Smet et Béatrice Fraenkel. On espère pour elles et leurs têtes blondes que ça se passe bien! Pour les curieux (jose espérer que cest bien public?), une journée détude aura lieu le 12 décembre. Sauve la date.
Ce sera donc à lEHESS, amphi François Furet, 105 bvd Raspail, Paris 6e.
Le programme à récupérer ici.
Merci Jil pour linfo!
Grapus est dune actualité brûlante puisque Léo Favier fêtera comme il se doit le 4 décembre la sortie de la 2e édition de son ouvrage Comment tu ne connais pas Grapus? (Au Monte-en-lair à 18h15, le Jilou en cause ici).
Alors que Gérard Paris-Clavel a réalisé une expo qui semble bien chouette pour le Mois du graphisme dÉchirolles (quelques photos sur le site dÉtapes).
Cest par contre vraiment trop tard pour lexpo dAlex Jordan à la Kunsthalle!

Enfin, pendant ce temps, depuis sa chaleureuse chaumière saronoise où jai eu le plaisir de séjourner pas plus tard que la semaine dernière, Vincent Perrottet prépare une maousse expo de sa collection daffiches à lEspace Poirel de Nancy.
Entretien avec Mateo Broillet
Adrien Zammit - samedi 22 février 2014 - Textes Formes Vives
«Dans le cadre de mon projet de mémoire de troisième année développé à l'École cantonale d'art de Lausanne avec Alexandru Balgiu et Deodaat Tevaearai, je souhaite poursuivre une réflexion sur la notion de formes et d'images politiques. Dans ce sens, je souhaite savoir si vous seriez disponibles pour un entretien composé de quelques questions sur votre pratique et votre engagement.»
Mateo Broillet, 4 janvier 2014.
Les questions de Mateo nous ont intéressé, notamment celles qui touchent des sujets que nous navions pas eu loccasion daborder jusquici (dans la rubrique «Textes Formes Vives» vous pouvez retrouver nos précédents entretiens écrits avec des étudiants). Du coup, nous avons pris le temps dy répondre tous les trois, de manière détaillée (cest un peu long!). Les images qui accompagnent lentretien sont pour la plupart extraites de notre site (elles renvoient aux travaux en question).
Mateo Broillet, 4 janvier 2014.
Les questions de Mateo nous ont intéressé, notamment celles qui touchent des sujets que nous navions pas eu loccasion daborder jusquici (dans la rubrique «Textes Formes Vives» vous pouvez retrouver nos précédents entretiens écrits avec des étudiants). Du coup, nous avons pris le temps dy répondre tous les trois, de manière détaillée (cest un peu long!). Les images qui accompagnent lentretien sont pour la plupart extraites de notre site (elles renvoient aux travaux en question).
Philippe Chat
Adrien Zammit - vendredi 12 avril 2013 - Utilité publique
Demain samedi 13 avril se déroulera une déambulation artistique en hommage à Philippe Chat, à Fontenay-sous-Bois naturellement. Nous ne pourrons nous joindre à nos amis pour cet après-midi mais en écho nous faisons paraître ici un petit article.
Nous avons été très touchés par la disparition de Philippe le 22 décembre dernier, il était un vrai complice. Dès nos débuts il nous a vivement soutenu tout comme il a encouragé de nombreux pairs et permis à de très belles réalisations graphiques déclore à Fontenay-sous-Bois!
On na jamais trop su quelle place, au sens bureaucratique du terme, Philippe occupait à la ville de Fontenay. Pour nous cétait quelque chose comme «Adjoint à limage dans la ville» ou «Chargé de lart et du graphisme dans la rue». Voilà quelques faits marquants ou souvenirs personnels du travail de cet infatigable soutien dun graphisme dutilité publique
Nous avons été très touchés par la disparition de Philippe le 22 décembre dernier, il était un vrai complice. Dès nos débuts il nous a vivement soutenu tout comme il a encouragé de nombreux pairs et permis à de très belles réalisations graphiques déclore à Fontenay-sous-Bois!

On na jamais trop su quelle place, au sens bureaucratique du terme, Philippe occupait à la ville de Fontenay. Pour nous cétait quelque chose comme «Adjoint à limage dans la ville» ou «Chargé de lart et du graphisme dans la rue». Voilà quelques faits marquants ou souvenirs personnels du travail de cet infatigable soutien dun graphisme dutilité publique
Compil Zammix 1212 - Solstice lubrique
Adrien Zammit - dimanche 2 décembre 2012 - Musique

Pour ce mois froid, culture-catho et consumériste, une résistance toute charnelle avec une vingtaine de titres pour se tenir au chaud, au très chaud, près de celui ou celle ou ceux ou celles que vous aimez. Gardez les chauffages à zéro, éteignez toutes les lumières au mieux une simple bougie , fermez bien les volets et les rideaux, munissez vous de couettes et douces couvertures et ne reste plus quà mettre en branle vos désirs Aucun doute, cest ça être (éco)responsables!
Dautant que le 21 a lieu la fin du monde, si vous aviez oublié, il nous reste quelques jours pour séclater (hum) jusquà larrivée de cet ultime solstice
Zammix 1212 Solstice lubrique
NB Les cinq titres reggae grivois (comprendra qui peut) sont directement pêchés dans leexxxcccceeellent dossier The harder they cum de Daniel Paris-Clavel quon trouvera dans la dernière livraison Chéribibesque (n°7, automne 2011).
Et limage est un bout daffiche de Mathias Schweizer.
Militanti e contenti
Geoffroy Pithon - mercredi 21 novembre 2012 - Textes Formes Vives

Progetto Grafico est la seule revue italienne entièrement consacrée au design graphique. Éditée par lAIAP (Associazione italiana design della comunicazione visiva) et publiée en bilingue (italien + anglais), ce semestriel tend à devenir «un forum critique sur le graphisme international» en proposant des articles bien poussés, amplement référencés avec de riches recherches iconographiques.
Pour le numéro 22 de cet automne axé sur «lespace commun», nous avons lhonneur de figurer dans le sommaire aux côtés d'articles hétéroclites abordant aussi bien le fameux Whole Earth Catalog, que le travail des signes dans l'espace public à l'université libre de Bolzano ou encore ce surprenant workshop sur des identités spontanées pour la ville de Pérouse.
C'est au travers d'une interview réalisée par Claude Marzotto que nous présentons latelier Formes Vives, son fonctionnement, ses boulots, ses hypothèses, ce qui nous permet aussi de revenir sur les passions et les désirs qui ont fait germer ce collectif, tout ça sur fond de belles doubles-pages finement composées.
On propose ici la version française de lentretien.
Workshop à lÉcole dart de Cambrai, compte-rendu
Adrien Zammit - mardi 20 novembre 2012 - Pédagogie

Nous voilà rentrés de trois jours de workshop à lESA de Cambrai ; une école qui ne compte quune seule section communication visuelle et qui est rattachée à lEPCC École supérieure dart du Nord-Pas-de-Calais. Avec les étudiants de 2e, 3e, 4e et 5e année, étaient également présents six étudiants de lécole des Beaux arts de Valenciennes.
Notre sujet «En avant camarades!» invite chaque groupe détudiants (groupes de trois maximum) à créer sa propre organisation sociale ou politique, militant pour une cause, une action.
Si il est plus facile pour chacun de se positionner contre un sujet, contre quelque chose qui nous énerve ou nous attriste, il est à notre sens plus intéressant de trouver un pendant positif à lindignation et davancer dans la proposition «positive» ; la lutte, pour être heureuse, ne peut pas être seulement dans la résistance mais aussi sétablir vers de lutopie et de la création.


Workshop au Festival de Chaumont, compte-rendu
Adrien Zammit - jeudi 2 juin 2011 - Pédagogie
Nous avions donc le plaisir dêtre parmi les graphistes invités cette année à encadrer un des workshops du Festival international de laffiche et du graphisme de Chaumont (Haute-Marne). Le sujet était imposé (le même que pour le concours étudiant) et les étudiants (une dizaine par groupe) devaient aboutir à des propositions daffiches, format 60x80cm.
Les étudiants étaient pleins denthousiasme et ont rendu ces quatre jours de workshop très agréables et dynamiques.
Le sujet «À textes ouverts» était une pâte très molle, appelant les étudiants à sinterroger sur les «scénarios de lecture» quen tant que graphistes ils sont à même de déployer, dimposer, de proposer. À partir de quoi, nous avons invité les étudiants de notre groupe à se saisir ou à un composer un texte, un extrait, des mots den faire une traduction personnelle et étonnante glissant sur un format affiche.

Les étudiants étaient pleins denthousiasme et ont rendu ces quatre jours de workshop très agréables et dynamiques.

Le sujet «À textes ouverts» était une pâte très molle, appelant les étudiants à sinterroger sur les «scénarios de lecture» quen tant que graphistes ils sont à même de déployer, dimposer, de proposer. À partir de quoi, nous avons invité les étudiants de notre groupe à se saisir ou à un composer un texte, un extrait, des mots den faire une traduction personnelle et étonnante glissant sur un format affiche.

De Paris à Nantes (avant Poitiers)
Adrien Zammit - mardi 3 mai 2011 - Bastringue

À Paris, 1er mai au soleil où les copains de lAPEIS étaient bien sûr au rendez-vous, avec sous le bras le nouvel Existence (n°42), fraichement sorti de presse pour loccasion.
Et puis le lendemain, je bondis dans un train tôt le matin, direction Nantes

pour un workshop de cinq jours à lECV avec des étudiants de 2e et 3e année. Notre sujet est dénommé «Identités visuelles modestes et géniales». Je vous en dis davantage dans un prochain post.
(Et pendant ce temps, Article11 n°4 se boucle )
Autre info qui peut, peut-être, en intéresser certains : vendredi et samedi cest la fête à Chéribibi à Poitiers! Chéribibi cest un fanzine devenu par la force des choses un magzine dont soccupe avec panache Daniel Paris-Clavel, et vlà quil va fêter ses 20 bougies (Chéribibi, pas Daniel!). Ça se passera à la Fanzinothèque de Poitiers.
Jai la chance de my être fait inviter pour tchatcher un poil dans la table ronde «débat sur lactualité et lavenir de la presse alternative en France»! Oh yeah. Tout le programme ici.
Quelques objets graphiques des Graphistes associés, de Courage cest du graphisme et de T. H.
Adrien Zammit - jeudi 10 mars 2011 - Création graphique

Létude prospective de la gendarmerie sur les nouveaux rassemblements de personnes dans lespace public
Adrien Zammit - samedi 5 mars 2011 - Politique
Pour faire suite à ma tite prise de parole dhier, pendant la discussion suivant la présentation du boulot de Ne pas plier et de Gérard Paris-Clavel dans le cadre du cycle de conférences Art[espace]public, voici un excellent document qui finit de déconstruire «le business du militantisme marketing» du collectif Jeudi Noir (collectif que jai moi-même fréquenté il y a petit moment).
Lanalyse très bien renseignée ne vient bizarrement pas dun des nombreux militants enthousiastes qui, comme moi, ont pu participer à des actions Jeudi Noir (ou de Génération précaire, ou de Sauvons les riches les mêmes trois-quatre personnes étant aux manettes de ces différents «collectifs»), avant de vite prendre ses distances avec ces coquilles presque vides. Non, on doit cette analyse critique sur «les nouvelles formes de regroupements de personnes dans l'espace public» au Centre de Prospective de la Gendarmerie Nationale!
Une lecture synthétique de ce très riche rapport (préparant de nouvelles stratégies de coercition) est à lire dans cet incontournable article du site de lInterstice. (Jeudi Noir étant rangé dans le troisième chapitre intitulé «Mensonges, business et récupération».)

↑ Une image piquée lors de la présentation de Gérard, une manifestation de lAPEIS (association pour lemploi, linformation et la solidarité des chômeurs et travailleurs précaires) où une grande photo dune occupation dAssedic est brandie par des militants, prolongeant lémotion et la force dune telle action et dupliquant la visibilité de ces corps en danger et unis.
Jévoquais cette supercherie en rebond à une prise de parole faisant léloge des formes dactions joyeuses et visibles de Jeudi Noir (sans bien sûr évoquer les procès perdus et les squatters aujourdhui condamnés à de lourdes sommes quand on leur avait promis quils ne risquaient rien, «ici on fait du militantisme rigolo») et opposant ce type dhappening à ce que le Spectacle a progressivement réussi à décrier comme sclérosés et ringardos (syndicats, partis, associations institutionnelles ) Le problème ainsi posé rejoint exactement le jeu du commerce et des médias dominants qui font la part belle à «ce qui bouge» et bien sûr jamais à ce qui dérange vraiment (ou même à ce qui pourrait faire simplement réfléchir).
Si les travaux de Ne pas plier ou de Gérard Paris-Clavel seul sont eux aussi concentrés sur le visible, ils sont toujours intensément politiques, résistants (aux formes du commerce notamment) et intelligents (la forme ne prenant jamais le pas sur le sens) Et ils sancrent dans des solidarités et des luttes de longue date, mûrement construits, appuyés fièrement sur une histoire populaire. Tout cela nous éloigne considérablement des opérations de buzz à luvre dans le «guerilla marketing» ou chez Jeudi Noir.
Lanalyse très bien renseignée ne vient bizarrement pas dun des nombreux militants enthousiastes qui, comme moi, ont pu participer à des actions Jeudi Noir (ou de Génération précaire, ou de Sauvons les riches les mêmes trois-quatre personnes étant aux manettes de ces différents «collectifs»), avant de vite prendre ses distances avec ces coquilles presque vides. Non, on doit cette analyse critique sur «les nouvelles formes de regroupements de personnes dans l'espace public» au Centre de Prospective de la Gendarmerie Nationale!
Une lecture synthétique de ce très riche rapport (préparant de nouvelles stratégies de coercition) est à lire dans cet incontournable article du site de lInterstice. (Jeudi Noir étant rangé dans le troisième chapitre intitulé «Mensonges, business et récupération».)

↑ Une image piquée lors de la présentation de Gérard, une manifestation de lAPEIS (association pour lemploi, linformation et la solidarité des chômeurs et travailleurs précaires) où une grande photo dune occupation dAssedic est brandie par des militants, prolongeant lémotion et la force dune telle action et dupliquant la visibilité de ces corps en danger et unis.
Jévoquais cette supercherie en rebond à une prise de parole faisant léloge des formes dactions joyeuses et visibles de Jeudi Noir (sans bien sûr évoquer les procès perdus et les squatters aujourdhui condamnés à de lourdes sommes quand on leur avait promis quils ne risquaient rien, «ici on fait du militantisme rigolo») et opposant ce type dhappening à ce que le Spectacle a progressivement réussi à décrier comme sclérosés et ringardos (syndicats, partis, associations institutionnelles ) Le problème ainsi posé rejoint exactement le jeu du commerce et des médias dominants qui font la part belle à «ce qui bouge» et bien sûr jamais à ce qui dérange vraiment (ou même à ce qui pourrait faire simplement réfléchir).
Si les travaux de Ne pas plier ou de Gérard Paris-Clavel seul sont eux aussi concentrés sur le visible, ils sont toujours intensément politiques, résistants (aux formes du commerce notamment) et intelligents (la forme ne prenant jamais le pas sur le sens) Et ils sancrent dans des solidarités et des luttes de longue date, mûrement construits, appuyés fièrement sur une histoire populaire. Tout cela nous éloigne considérablement des opérations de buzz à luvre dans le «guerilla marketing» ou chez Jeudi Noir.
LHumaginaire avec les Pinçon-Charlot et la résistance avec la Coordination des intermittents et précaires
Adrien Zammit - mardi 22 février 2011 - Politique

Grouillez-vous de rejoindre le kiosque le plus près de chez vous avant sa fermeture, sans quoi vous naurez pas le droit à un 4 pages de lHumaginaire (dans lHumanité donc) consacré au couple de sociologues français le plus célèbre (mais pas encore assez), jentends causer de Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon.
Leur dernier bouquin, Le Président des riches, fait actuellement un tabac avec ses 100.000 exemplaires déjà vendus. Et cest sans perdre de lhumour et de la percussion de ces sociologues de la classe dominante, que Thomas Lemahieu nous narre quelques jours passés à les suivre de conférence en conférence. À limage, cest Gérard Paris-Clavel-qui-lutte-des-classes qui sy colle et glisse quelques uns de ses signes et une pincée de mots (lui-même avait ouvert avec Thomas les pages de lHumaginaire en décembre 2009) Et le tout forme un reportage bien rafraichissant, qui appuie bien sur la nécessité pressante de revenir à une pensée politique de classes sociales.
(Aussi vous avez un bon petit documentaire, Voyage dans les guettos du gotha, qui se visionne avec un plaisir comparable!)
Dans un mois nous devrions remettre le couvert avec le collectif citoyen du Tambour des doléances, pour un 4 pages cette fois consacré à laction du Tambour des doléances donc. (Faut suivre.)

Et puis sinon il y a urgence côté de la Coordination des intermittents et précaires dÎle-de-France (CIP-IDF) qui risque lexpulsion dun jour à lautre. Alors vous pouvez signer leur pétition, laisser un numéro de portable pour venir prêter main forte en cas dexpulsion, et aussi lire le papier de Jean-Baptiste Bernard sur le site dArticle11 à ce sujet.
Entretien avec Alix Neyvoz
Adrien Zammit - lundi 10 janvier 2011 - Textes Formes Vives
«Je suis étudiante en quatrième année à lESAG Penninghen à Paris.
Je travaille actuellement sur un petit projet d'édition* dont le thème est la notion de risque en graphisme, support, message ou organisation.
Jaurais aimé savoir si vous accepteriez de me donner une petite interview, votre point de vue sur cette notion et pourquoi pas quelles ont été vos propres prises de risques.» [ ]
«Ces textes feront lobjet dune publication unique, dans le cadre dun sujet proposé par Charlotte Cheetham (Manystuff) et encadré par Bernard Baissait (ex Compagnie Bernard Baissait) et Vincent de Hoÿm (à 2 cest mieux). Je vous ferai parvenir par courrier un exemplaire photocopié.»
Alix Neyvoz, 2 et 5 janvier 2011.
(*Il sagit du même projet dans le cadre duquel Morgane Coster nous avait précédemment interrogé sur dautres thématiques.)
Je travaille actuellement sur un petit projet d'édition* dont le thème est la notion de risque en graphisme, support, message ou organisation.
Jaurais aimé savoir si vous accepteriez de me donner une petite interview, votre point de vue sur cette notion et pourquoi pas quelles ont été vos propres prises de risques.» [ ]
«Ces textes feront lobjet dune publication unique, dans le cadre dun sujet proposé par Charlotte Cheetham (Manystuff) et encadré par Bernard Baissait (ex Compagnie Bernard Baissait) et Vincent de Hoÿm (à 2 cest mieux). Je vous ferai parvenir par courrier un exemplaire photocopié.»
Alix Neyvoz, 2 et 5 janvier 2011.
(*Il sagit du même projet dans le cadre duquel Morgane Coster nous avait précédemment interrogé sur dautres thématiques.)