Titre de niveau 2


Pour donner en partage le travail de cette année, nous proposons cette forme, ce livre. C’est une manière de rassembler nos observations, nos découvertes, nos tentatives et parallèlement c’est un prétexte pour nous ré-interroger sur le sens de notre parcours.
Ce parcours, cette recherche, notre Chantier, tourne autour de cette bruyante question :

Titre de niveau 1

Comment avoir une pratique politique de communication politique ? Titre de niveau 3. Adapté pour des textes importants. La largeur est de 560px et non de 480px (650px étant trop large).



En s’y attachant, en s’y contraignant, nous pénétrons dans un dédale d’apprentissages et d’expérimentations. Notre point d’arrivée ne peut aucunement être tangible — contrairement au scientifique —, notre apprentissage commence tout juste.

Titre de niveau 4

Pour mener à bien notre progression, nous avons mis en place une procédure découpée en quatre voies : des lectures (ressources théoriques) et des écrits (définitions d’hypothèses) ; des auto-productions (expérimentations d’hypothèses sans contraintes extérieures) ; des recherches-actions (expérimentations d’hypothèses avec contraintes extérieures) ; des rencontres avec des pairs (récoltes d’expériences différentes et mises en critique de notre travail). Quant au présent ouvrage, il est composé de trois parties distinctes :

Paragraphe en titre de niveau 4. Alors en fait il y a souvent ce quiproquo entre les deux films qui s’appellent “le manteau”, l’un (celui que tu m’as envoyé) est très récent, il date du dernier festival d’Annecy je crois, mais en fait je ne l’avais pas vu jusqu’ici.

L’autre, c’est un film inachevé en papier découpé animé sous banc titre, de Youri Norstein (un maître du film d’animation qui a aussi fait “le conte des contes”), inspiré de la nouvelle de Gogol du même nom. Tu peux voir uniquement de très courts extraits du film en mauvaise qualité ici:



Tatatata. Titre de niveau 5

Texte long en niveau 5. En s’y attachant, en s’y contraignant, nous pénétrons dans un dédale d’apprentissages et d’expérimentations. Notre point d’arrivée ne peut aucunement être tangible — contrairement au scientifique —, notre apprentissage commence tout juste.


Titre de niveau 6
Voilà ce que donne le titre de niveau 6. Fin janvier 1968 - période de trêve et de fête du nouvel an lunaire, le Têt -, les forces nord-vietnamiennes encerclent la base américaine de Khe Sanh, et déclenchent une guérilla urbaine de grande échelle dans le Sud Viêt-nam. Certain de sa puissance de feu, l’état-major américain croit alors tenir l’affrontement frontal tant attendu.

Entre deux paragraphes, testons les citations… Viêt-nam, janvier 1968. En sept ans, la présence militaire américaine dans la seconde guerre d’Indochine est passée de quelques centaines de conseillers mili-taires à un contingent de 500 000 hommes. Fin janvier 1968 - période de trêve et de fête du nouvel an lunaire, le Têt -, les forces nord-vietnamiennes encerclent la base américaine de Khe Sanh, et déclenchent une guérilla urbaine de grande échelle dans le Sud Viêt-nam. Certain de sa puissance de feu, l’état-major américain croit alors tenir l’affrontement frontal tant attendu. Jusque-là, les bombardements massifs du Nord Viêt-nam avaient exténué l’ennemi mais les signes probants de victoire manquaient face à des combattants invisibles tapis dans la jungle. L’initiative nord-vietnamienne est perçue comme une tentative désespérée et le “début de la fin”. Les combats dans Saigon donnent aussi aux nombreux journalistes américains présents sur place l’occasion et la matière pour abreuver l’Amérique profonde d’images de leurs soldats en action. Mais si l’armée américaine remporte en effet des victoires écrasantes sur le terrain, les images générées par ces combats produisent l’effet inverse. On assiste à l’exemple spectaculaire et paradoxal d’une guerre où la victoire militaire fabrique des images de défaite et aboutit à une débâcle politique.

« Les combats dans Saigon donnent aussi aux nombreux journalistes américains présents sur place l’occasion et la matière pour abreuver l’Amérique profonde d’images de leurs soldats en action. »


Mais si l’armée américaine remporte en effet des victoires écrasantes sur le terrain, les images générées par ces combats produisent l’effet inverse. On assiste à l’exemple spectaculaire et paradoxal d’une guerre où la victoire militaire fabrique des images de défaite et aboutit à une débâcle politique.